ADL/ Artiste plasticien
Diplômé avec mention des Beaux-arts, option communication visuelle et audiovisuelle. D.N.A.P. et D.N.S.E.P. Diplôme National Supérieur d’Etudes Plastiques à l’Ecole Nationale Supérieure d’Art de Paris-Cergy, en 1990. Où il suit les cours de Fred Forest, Bernard Mercadé, Alain Snyers, etc…
Après quelques années à Paris, il s’investit pleinement et professionnellement dans la production et la vente directe de ses œuvres.
Il ouvre en 1994 à Perpignan son lieu d’expositions permanent, ouvert au public, en plus de son atelier. En parallèle il enseigne les arts appliqués en lycée professionnel et collabore à de nombreuses expositions.
Membre de la Maison des Artistes.
Sur les traces de Walter Benjamin. Photographies
Comment mettre en scène l'espace du sensible dans la perception personnelle d'une oeuvre.
Penseur engagé sur le front de la modernité (entendue comme crise à répétition), Walter Benjamin doit sa clairvoyance et sa fulgurances à la mobilité avec laquelle il se déplace entre les lignes en suivant une sorte de voie excentrique. Cette agilité l'amène à conjuguer, entre autres, l'héritage d'une métaphysique du langage et la recherche d'une politique subversive, obligeant à revoir les concepts d'art, de culture et d'histoire. Certes, son champ d'opération – l'entre-deux-guerres – n'est plus exactement le nôtre. Mais ses cheminements théoriques – conduisant de l'« extrapolation par les extrêmes » à l'élaboration d'« images dialectiques » en passant par une refonte de la notion même d'« origine » – ainsi que son appel pratique à fonder l'idée de progrès sur celle de catastrophe n'ont pas fini de nous remuer à l'aube du XXIe siècle. Peut-être commencent-ils seulement à nous parler.
Ce travail photographique est une recherche plastique sur les traces de Walter Benjamin, qui a disparu le 26 septembre1940, entre Cerbère et Portbou.
Mise en abime des paysages, des passages, des étapes franchies par le fugitif. Frayeur d’être arrêté par la Gestapo ou la police espagnol, le penseur n’a pas pu maîtriser ses angoisses et s’est donné la mort.
Jeux de visions et d’illusions d’un ailleurs qui lui permettrait de se sauver.
Contemplation de la mer éternelle qui ouvre vers l’intime de son être. Progression dans une nature aride et sèche brûlait par le soleil de septembre.
Photos panoramiques
Il n'existe pas vraiment de définition stricte de ce qu'est une photo panoramique et comme pour d'autres notions en photographies, chacun aura sa propre appréciation. Néanmoins, on considère que pour être qualifiée de panoramique, une photo doit présenter un format allongé dans lequel le plus long côté est au moins deux fois supérieur au plus petit (c'est-à-dire supérieur à un ratio 2:1). Cette photo peut être verticale ou horizontale, même si le second cas est plus fréquent. Certaines personnes considèrent également que pour être qualifiée de panoramique, une photo doit obligatoirement embrasser un champ large, équivalent à celui d'un 20 mm en 24x36 par exemple. À partir de ce constat, réaliser une photo panoramique peut simplement consister à recadrer une photo faite au grand-angle, comme dans l'exemple ci-dessous.
Atelier : Imaginez une photo panoramique avec un assemblage de plusieurs photos.